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Quand la copie d’un livre était terminée, il
fallait relier les cahiers entre eux et leur donner une couverture pour les
protéger des dégradations. La reliure était elle aussi un
art à part entière. On cousait le dos des cahiers avec un fil
solide, et on recouvrait tout le volume de planchettes de bois recouvertes le
plus souvent de cuir. Souvent, le relieur ornait les couvertures avec des
scènes de la vie religieuse, ou avec des plaques de métal
clouées sur les planchettes, ou avec des décorations au fer. |