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Une maison de la ville minoenne en haut de la colline

Les fouilles archéologiques - 1998 après. J.C.

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Les fouilles archeologiques - 1998 apres. J.C.

Loupe

Aujourd'hui, la remise s'est elle aussi effondrée. Les paysans l'ont abandonnée.

Les archéologues, après avoir fait une recherche de surface (on marche en étudiant les tessons et les murs que les pluies mettent à jour) et après avoir lu les notes du périégète (le voyageur étranger de la page 5), décident d'ouvrir des tranchées pour fouiller le site.

  Travaux

  1. On a coupé l'olivier dont les racines abîment les ruines.
  2. On a installé un quadrillage (des fils tendus en carrés de mêmes dimensions qui permettent la localisation des trouvailles).
  3. On a déjà découvert des parties du rez-de-chaussée. Deux des vases du magasin ont été trouvés à leur place. D'après la décoration des vases, les archéologues pourront comprendre la chronologie de la maison.
  4. Un ouvrier creuse le remblai devant la porte du rez-de-chaussée et découvre le dallage de la rue. L'architecte qui tient une planchette en fait le dessin. On peut voir les outils de fouille : pelles, pioches, sarcloir et chariot pour transporter la terre.
  5. A l'ombre d'un olivier, l'archéologue écrit le journal de la fouille.
    Sur la table, il a posé les objets découverts, afin de les décrire : des vases et des sacs de tessons.
    A côté de lui, il a posé le mortier de la page 3 pour le dessiner.
  6. L'archéologue avec l'appareil photo, debout, étudie le chantier et, d'après les données des fouilles, imagine l'aspect de la maison telle qu'elle était quand elle a été construite (page 2).

Remarques

  • Dans la crique sont ancrées les barques des pêcheurs d'aujourd'hui.

 

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© Léonidas Vokotopoulos, Stella Chrysoulaki, archéologues - Elli Vokotopoulos, Ilias Papadopoulos, architectes.